lundi 30 mai 2011

T'aurais pas autre chose...

L'utilisation d'un encens n'est jamais anodin...
Faire brûler ces extraits végétaux est un petit geste sympa pour certains "hôtes cosmiques" afin qu'ils ne nous dérangent pas pendant une méditation, ou un rituel.
C'est le même principe qu'un petit cadeau qu'on ferait aux voisins pour les prévenir discrètement que nous organisons une réunion de famille qui ne les concerne pas vraiment. Nous souhaiterions qu'il se tiennent à l'écart et surtout qu'ils ne débarquent pas à l'improviste...

Je me souviens d'un traitement reiki durant lequel j'avais utilisé un vieil encens retrouvé quelques jours auparavant. C'était un "encens rosicrucien à la rose mousse des Indes". C'est celui que les rosicruciens qui ont récupéré à leur façon l'héritage de Harvey Spencer Lewis préconisent pour intégrer facilement leur égrégore...
En l'utilisant, je croyais simplement bien faire et honorer les éventuels guides du reiki qui ne manqueraient pas de donner un petit coup de main pour ce traitement difficile que j'offrais à une personne que la médecine avait condamné.
Je n'avais alors pas bien compris la différence fondamentale entre l'utilisation d'un encens et une l'utilisation d'une canalisation de reiki, puisque je constatais naïvement que les deux élevaient le taux vibratoire...

J'avais donc allumé mon encens et celui-ci dégageait cette odeur douceâtre bien différente des valeurs classiques que sont la sauge, le santal ou l'oliban. J'avais à peine commencé le vide mental qui convient à la canalisation énergétique que j'entendis distinctement une voix amusée me dire en français avec une petite pointe d'humour: "t'aurais pas autre chose..."

Je compris alors que cet encens aussi ciblé, handicapait les guides et les obligeait à un effort énergétique inutile et malheureux pour neutraliser les basses vibrations supplémentaires que je leur imposais.

Le message est reçu 5 sur 5! Merci!

samedi 28 mai 2011

Un Djembé sur Mesure...


La meilleure solution pour élever le taux vibratoire d'un lieu consiste naturellement à en retirer les objets chargés...

On connait l'histoire de cet homme qui gravissait la montagne avec un gros rocher. Tout le monde lui disait:" tu avancerais bien plus facilement en le larguant". Et l'homme refusait en disant: "Pas question, c'est un rocher que je porte depuis le bas de la montagne."

Et oui, plus encore que l'objet lui même, ce sont nos attaches qui nous créent le plus de tort!

Je me souviens qu'en visitant la maison d'un ami, je ressentis dans son salon quelque chose de particulièrement désagréable... C'était un djembé. Même caché derrière un rideau, j'avais tout de suite ressenti son étonnant caractère vampirisant.

Lorsque les djembés sont fabriqués traditionnellement, ils sont séchés et conservés dans une case spéciale dans laquelle ils subissent un rituel qui permet de leur attacher généralement une entité ou parfois simplement un égrégore destiné à posséder la personne qui se laissera envahir par la musique et acceptera l'invitation à une transe.

Naturellement, le deuxième degré du reiki transmet le fameux "Jaki Kiri Yoka Ho" qui permet de purifier un objet. Mais "Jaki Kiri Yoka Ho" n'a pas du tout vocation à s'opposer à de la magie noire et à traiter un objet chargé dont il conviendrait plutôt de se débarrasser en le brûlant.

C'est naturellement ce que j'expliquais à mon ami. Sa réponse me désola: "non, je ne me débarrasserai jamais de ce djembé... C'est un djembé qui a été fabriqué spécialement pour moi..."

Il n'y avait naturellement rien à ajouter... Cela peut sembler dramatique au premier abord, mais nous devons respecter le libre arbitre de nos frères, même lorsque nous savons qu'ils sont manifestement dans l'erreur. En effet, si nous intervenions, leur "faille psychique" resterait ouverte et rapidement ils trouveraient une erreur de substitution, ce qui fait qu'ils n'avanceraient pas réellement. En revanche, ce serait à nous d'assumer une relation avec l'entité que nous avons dérangée et avec laquelle nous aurions établi à notre tour un lien...    

mercredi 25 mai 2011

L'Art de la Fulmination



On dit qu'un âne est têtu.
Je me souviens d'un âne attelé à une carriole toute chargée d'enfants. L'âne avait décidé que c'était trop pour lui et que tout devait être décroché en préliminaire à toute négociation.
La tête de l'âne était devenue sombre... Il ne bougeait plus. On pouvait le menacer, le supplier, le frapper... On sentait que sa décision était prise: son cerveau était utilisé pour créer une masse psychique de contrariété.

Une autre fois j'avais laissé une personne s'impatienter quelques minutes dans une voiture et quand je suis revenu, j'ai vu une sorte de nuage sombre qui épousait exactement la forme de ce qui me semblait son cerveau et qui se déplaçait lentement... C'était une horreur et je me suis promis de ne jamais produire ou d'être responsable de ce genre de masse nuageuse...

Je crois que c'est cette expérience qui m'a fait comprendre le sens du verbe "fulminer", de fulminare qui signifie préparer la foudre...C'est d'ailleurs l'expression consacrée pour un pape: il "fulmine une bulle". On comprend l'utilisation de la force mentale et psychique pour une création énergétique en forme de boule.

Naturellement qui peut le plus peut le moins... et au lieu de se charger des contrariétés, les bulles peuvent véhiculer des pensées épurées, toniques, régénératrices, voire illuminantes ou initiatrices...

Tout un programme!

samedi 21 mai 2011

Regarde son Plexus Solaire!


C'était un stage Reiki. Un premier degré que je repassais bien pour la dixième fois. L'enseignant avait attiré mon attention sur un binôme constitué  d'un grand gaillard de 25-30 ans qui était debout et canalisait le Reiki sur une femme d'une quarantaine d'années, allongée sur un matelas.

Les 50 cm qui séparaient les mains de l'homme du corps de la femme permettaient d'observer son plexus solaire.

Dans un premier temps, je ne vis rien... Mais il fallait se concentrer avec un regard psychique pour distinguer un curieux phénomène: du plexus solaire semblait s'échapper une légère vapeur fûmeuse. Cela me faisait songer à ce que l'on voit parfois lorsqu'une cheminée a accueilli un feu et qu'il ne se dégage plus de fûmée, mais une chaleur qui déforme les rayons lumineux.

C'était assez étonnant. Le traitement Reiki donnait la sensation qu'une charge psychique était en train d'évacuer. Le jeune homme n'agissait pas directement sur le plexus. Il devait traiter le coude ou la main de la personne et il se rapprochait progressivement du plexus solaire.

J'allais me tourner vers l'enseignant qui observait assis à côté de moi à 4 ou 5m des deux personnes pour lui chuchoter: "je me demande ce qui va se passer lorsque ses mains seront au dessus du plexus solaire"...

Le temps de me touner vers l'enseignant, celui-ci avait quitté sa chaise et se précipitait vers la femme qui s'était brutalement redressée et s'était mise à sangloter.

Le reiki avait déclanché une crise. La femme prenait conscience d'un souvenir douloureux et refoulé qui avait marqué sa vie et il fallait la laisser calmement comprendre et libérer son émotion. D'un autre côté, il fallait rassurer le jeune homme qui culpabilisait en se demandant ce qu'il avait bien pu faire pour provoquer une telle réaction...

Mais aussi surprenant que cela paraisse, ces choses là sont naturelles et bénéfique pour la personne qui accède à un mieux être.

Pour ma part, en vivant simplement ce genre d'expérience sous le contrôle remarquable d'un enseignant expérimenté, j'avais pris conscience de l'importance du travail à faire sur soi avant que les guides du Reiki nous confient la gestion d'une "crise"...



mercredi 18 mai 2011

Bienvenue chez les Rozes



Je venais d'avoir l'ADSL et internet allait me permettre d'aller voir le lendemain comment avait évolué le mouvement rosicrucien que j'avais quitté une vingtaine d'années auparavant. J'avait la curieuse sensation d'avoir quelque chose à transmettre, alors que je n'étais pas détenteur du moindre secret...


Je gérais alors un video-club. Imaginez quelques milliers de DVD. Les boîtiers sont généralement bien accrochés et ne tombent que très rarement de leur présentoirs et encore moins tous seuls...
Or ce matin là, un DVD était précisément tombé tout seul dans la nuit et m'attendait comme pour me narguer au milieu du passage... son titre: "Bienvenue chez les Rozes" me fit comme un choc...


Une explication rationnelle était possible: le boîtier était sans doute mal fermé, il s'était comporté comme un ressort et s'était trouvé propulsé un mètre plus loin. Mais cela restait très bizarre. Et puis ce titre si particulier me faisait comme un clin d'œil avec les roses, suggérant les rose+croix. Les "Rozes" étaient écrit avec un "z" comme ont le voyait encore dans la vieille tradition d'il y a quelques siècles. D’ailleurs Ronsard n'écrivait-il pas: "Mignone allon voir si la Roze"...


Et puis aucun autre titre de film ne pouvait davantage s'adapter au cheminement qui s'annonçait, comme si une longue "nuit obscure" prenait fin et le monde subtil suggérait l'arrivée de la fameuse "aube dorée" et la fraternité invisible souhaitait la bienvenue.


Un autre détail lié au film m'inspirait. Pour mémoire, deux petits malfrats, en fait condamnés par erreur, se retrouvent "par hasard" en cavale et se réfugient chez des bourgeois, les "Rozes" qui se révèlent être d'une moralité totalement corrompue au point de stimuler profondément la pureté intérieure de nos héros et du public. Ce scénario me semblait le produit d'une intéressante inspiration rosicrucienne.


Force était d'admettre avec confiance que ce boitier de DVD ce matin là était le signe qu'un guide puissant avant placé sur ma route...

mardi 17 mai 2011

Culpabilité après Deux Mille Ans


Lorsque l'on parle de souvenirs de vies passées, on perd parfois de vue que ce sont naturellement les souvenirs les plus traumatisants qui résistent le mieux aux épreuves du temps...

Il y a une trentaine d'années, je visitais le Colisée par une belle journée ensoleillée et la pensée que cette magnifique construction avait certainement déjà dû m'accueillir au moins une fois au cours des âges, m'était venue, et je m'étais donc assis sur un gradin pour une petite méditation avec la vague intention de faire remonter un souvenir....  

Très vite une vision s'imposa. Je vis le Colisée plein de monde, le spectacle allait commencer et j'assistais à l'entrée de l'Empereur Auguste et de son équipe dirigeante qui se rendait vers la tribune officielle...

Un détail me frappait: le vêtement extérieur était une simple cape tenue fermée au niveau du cou par un seul bouton ou tout au moins ce qui me semblait un bouton... J'appris plus tard que cette sorte d'agrafe portait le nom de "fibule".

En effet, c'est au fil des âges que j'en appris davantage sur ce vêtement... A l'époque, en analysant l'image,  j'avais trouvé bizarre de ne pas voir Auguste porter une toge avec ce manteau de laine rouge que l'on voit partout, composé d'un simple rectangle de laine et qui servait également aux soldats romains de couverture... Au lieu de ça, Auguste portait donc une cape d'un vert brillant qui me faisait songer à de la soie.

Je m'aperçus que je faisais également partie du groupe et que je portais le même type de cape mais d'un brun violacé assez foncé.

Je devais donc être assez proche d'Auguste à cette époque. Mais pourquoi cette scène particulière m'était-elle revenue à la conscience? Il fallait avoir droit à la suite du flash, la demander et l'obtenir pour avoir la réponse...

Auguste donc se dirigeait lentement vers sa place sous les acclamations du public qui emplissait le Colisée. L'empereur ne s'abaissait pas à répondre aux ovations: il était Rome... et se plaçait ainsi à un autre niveau. Je me souviens qu'Auguste avait déjà pris place et, alors que les clameurs s'estompaient, comme j'étais parmi les derniers du groupe, je n'étais pas encore assis. C'est à ce moment que quelques voix de salutations, légèrement amusées m'avaient reconnu, deux ou trois, tout au plus, s'élevèrent pour me saluer directement et au lieu de m'asseoir discrètement, je leur répondis en souriant et en levant le bras.

C'était une grossière erreur... Une rare bêtise: paraître au lieu d'être simplement! Evidemment je devais faire comme Auguste: ne rien répondre et m'installer silencieusement à ma place. Toujours est-il que je m'en voulus beaucoup de cette intervention, j'avais beaucoup regretté ce geste maladroit et une simple visite au Colisée me faisait retrouver en moi 2000 ans plus tard la trace de cette culpabilité...    


dimanche 15 mai 2011

A la Découverte du Beaming

Le terme beaming signifie "rayonnement" en anglais. Les enseignants du reiki utilisent ce terme pour une sensation bien particulière de toucher de l'aura que certaines personnes sensibles découvrent très rapidement et d'autres seulement beaucoup plus tard... Je fais plutôt partie de la deuxième catégorie et il m'a fallu 4 mois de pratique pour découvrir cette sensation.

Au niveau du premier degré, les conditions optimales se produisent après un "traitement complet" qui dure environ une heure. L'aura de la personne traitée est devenue lisse et régulière comme un gros œuf d'environ 4m sur 5m50 (c'est pour ça que j'ai choisi pour la photo un œuf de cristal!), tandis que le praticien, qui a canalisé patiemment pendant une heure, est devenu particulièrement réceptif.  Il est alors possible de ressentir facilement certaines couches périphériques de l'aura dont une qui se manifeste généralement par un velouté électrique d'une douceur extraordinaire.

Je me souviens de ma joie et de mon enthousiasme lorsque mon maître de reiki m'a fait découvrir cette nouvelle sensation à un âge où précisément on ne s'attend plus à découvrir de nouvelles sensations sur terre. Il n'y a pas de mots! C'est incroyable, c'est extra! De la même façon qu'il existe de la claire-vision ou de la clairaudience, il y a aussi un clair toucher!

L'enthousiasme m'avait rendu addictif pour quelques mois et à cette époque j'attendais avec impatience chaque traitement pour son cadeau final: le beaming...