La meilleure solution pour élever le taux vibratoire d'un lieu consiste naturellement à en retirer les objets chargés...
On connait l'histoire de cet homme qui gravissait la montagne avec un gros rocher. Tout le monde lui disait:" tu avancerais bien plus facilement en le larguant". Et l'homme refusait en disant: "Pas question, c'est un rocher que je porte depuis le bas de la montagne."
Et oui, plus encore que l'objet lui même, ce sont nos attaches qui nous créent le plus de tort!
Je me souviens qu'en visitant la maison d'un ami, je ressentis dans son salon quelque chose de particulièrement désagréable... C'était un djembé. Même caché derrière un rideau, j'avais tout de suite ressenti son étonnant caractère vampirisant.
Lorsque les djembés sont fabriqués traditionnellement, ils sont séchés et conservés dans une case spéciale dans laquelle ils subissent un rituel qui permet de leur attacher généralement une entité ou parfois simplement un égrégore destiné à posséder la personne qui se laissera envahir par la musique et acceptera l'invitation à une transe.
Naturellement, le deuxième degré du reiki transmet le fameux "Jaki Kiri Yoka Ho" qui permet de purifier un objet. Mais "Jaki Kiri Yoka Ho" n'a pas du tout vocation à s'opposer à de la magie noire et à traiter un objet chargé dont il conviendrait plutôt de se débarrasser en le brûlant.
C'est naturellement ce que j'expliquais à mon ami. Sa réponse me désola: "non, je ne me débarrasserai jamais de ce djembé... C'est un djembé qui a été fabriqué spécialement pour moi..."
Il n'y avait naturellement rien à ajouter... Cela peut sembler dramatique au premier abord, mais nous devons respecter le libre arbitre de nos frères, même lorsque nous savons qu'ils sont manifestement dans l'erreur. En effet, si nous intervenions, leur "faille psychique" resterait ouverte et rapidement ils trouveraient une erreur de substitution, ce qui fait qu'ils n'avanceraient pas réellement. En revanche, ce serait à nous d'assumer une relation avec l'entité que nous avons dérangée et avec laquelle nous aurions établi à notre tour un lien...