vendredi 29 avril 2011

Certains pensent que le Reiki est coûteux!




Je me souviens avoir payé 150 euros pour mon premier degré, c'est à dire pour un stage intensif de deux jours et de 15 heures de formation que j'ai repassé ensuite gratuitement pas moins de 15 fois, peut-être 18 fois, en y retournant tous les mois. J'utilisais bien à mon avantage la Tradition Reiki qui veut que "l'enseignant s'engage à répondre aux questions de ses élèves"...

Naturellement on s'étonne parfois... Pourquoi repasser 15 fois? Une seule fois ne suffit t-elle pas?

Faut croire que non! Il y a des détails que l'on juge secondaire la première fois et que l'on a bien besoin d'entendre répétés plusieurs fois avant de leur accorder l'importance nécessaire.

Ne perdons pas de vue que derrière la transmission initiatique, le Reiki véhicule un enseignement oral, même si les enseignants font leur possible pour transmettre des livrets détaillés.

Quand on écoute par exemple pour la première fois la "légende dorée" d'Usui, si l'on est pas spécialement préparé, peut-on comprendre tout de suite qu'il s'agit d'un enseignement ésotérique? Quand on entend évoquer les "5 préceptes", on pense parfois qu'ils pourraient aussi bien être 4 ou 10, mais pas forcément que cela revêt la plus haute importance.

Et puis il y a notre taux vibratoire qui change et cela se traduit par une plus grande sensibilité psychique. Mon toucher de l'aura, par exemple était loin d'être évident la première fois...

Enfin, s'il nous est accordé une canalisation énergétique puissante, il y a aussi les "crises" qu'il faut se préparer à gérer...

Une crise est une prise de conscience d'une souffrance refoulée. La personne en crise se libère d'une charge émotionelle avec parfois des larmes, ou plus rarement des rires et l'étudiant du Reiki doit apprendre à gérer cette situation, en général totalement inhabituelle, sous l'œil exercé et vigilant de son enseignant. L'étudiant doit aussi travailler sur lui et résoudre certaines difficultés psychiques pour ne pas vivre une crise lui même s'il canalise de l'énergie sur quelqu'un d'autre...

Une fois cette expérience vécue, ce stade passé, l'étudiant aura la confiance en lui requise pour gérer tout seul et comme il convient ce type de situation délicate et finalement trés naturelle.